Disclaimer à l’attention des parents d’enfants en bas-âge ou d’adolescents chahuteurs qui me liront : riez tout ce que vous voulez et pardonnez-moi.
Je suis rentrée de vacances hier et un constat s’impose, ça fait un petit moment certes mais je ne l’avais jamais ressenti aussi puissamment : je suis fatiguée.
Lundi dernier, deux jours à peine après mon retour dans la maison familiale et avec une liste de personnes à attraper au vol longue comme mon bras malgré les 6 pauvres petits jours que j’avais devant moi, mon corps a dit stop. Stop comme niet, nope, déso pas déso.
“Non tu n’iras pas là en voiture, non tu n’iras pas dormir dans un lit étranger, non tu n’iras pas boire trop d’alcool et papoter de tout et de rien jusqu’au bout de la nuit. Et pour que tu ne sois pas tentée, voilà tiens tu es aphone, tu n’as plus de force, tu craches tes poumons et tu tremblotes de fièvre, c’est bon, tu as compris maintenant?”