Alerte ! Cet article spoile salement et sans remord Harry Potter en général et la première partie des Reliques de la Mort en particulier !
Ceci est le cinquième article d’une série concept nommée 31 chansons : plus d’explications ici !
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À l’occasion de la sortie des Crimes de Grindelwald, j’éprouve, comme sans doute beaucoup de gens, l’envie de me replonger dans le monde de Harry Potter.
Je suis née en 1989, j’avais donc 9 ans lors de la date de sortie de Harry Potter à l’école des sorciers. J’ai commencé à les lire à peu près autour de la sortie du Prisonnier d’Azkaban, donc au moment où on commençait à parler à tâtons de phénomène littéraire mais qu’on était encore à des lieux de s’imaginer qu’il allait muter en gigantesque phénomène de société.
J’avais 10 ou 11 ans, j’étais donc une de ces personnes chanceuses qui avaient exactement le même âge que le héros et qui ont grandi avec lui au rythme des publications annuelles. Et c’était absolument extraordinaire, cette attente, ce suspense, tous ces pré-ados et plus vieux qui se retrouvaient dans les librairies tous les ans pour acheter les premiers le livre, un chapeau pointu sur la tête (je ne l’ai jamais fait mais je suis sûre que j’aurais adoré l’expérience !), toute cette ferveur générale autour de livres pour enfants bordel, je crois qu’on avait jamais vu ça !